Daifuku au sésame noir ( mochi )

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Ganache à la pure pâte de sésame noir, anko maison et mochi entièrement réalisé à la main. Dans la cuisine japonaise, on appelle wagashi les pâtisseries traditionnelles souvent consommées souvent en en-cas, associées au thé vert.

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Description

Kurogoma Daifuku ( mochi au sésame noir)

Les kurogoma Daifuku (aussi appelés « mochi au sésame noir » en occident par abus de langage), sont des pâtisseries traditionnelles généralement garnies de haricot rouge confit, de fruits ou de préparations pâtissières. Les nôtres sont réalisés à la main, garnis une crème de haricot rouge maison et avec la farine de riz gluant la plus fine du Japon. Ici avec un coeur de ganache au sésame noir.

Le moelleux du mochi au sésame noir

Les Wagashi traditionnels sont des pâtisseries que l’on rencontre à des moments particuliers de la vie japonaise. Ainsi les Daifuku, comme les mochi ou les Wagashi en général ne se dégustent que très rarement en dessert. Par ailleurs, les Yogashi sont des pâtisseries « à l’occidentale » qui participent aussi à des rites différents de ceux que nous connaissons. Il est donc indispensable de s’émanciper des références culturelles occidentales pour comprendre la pâtisserie japonaise.

Le terme « O mochi », précédé du « o » de politesse, est une pâte de riz gluant. On la prépare au nouvel an pour la déguster uniquement salée sous forme de petits pains de riz rectangulaires. Rien à voir donc avec les mochi que l’on connaît en France ! Au Japon on les appelle des « Daifuku ». Les Daifuku sont les pâtisseries traditionnelles à base de haricots rouges que l’on connaît. Ils sont aussi régulièrement garnis de fruits ou de préparations pâtissières comme des ganaches avant d’être finalement enrobés de pâte de riz gluant. C’est pourquoi ils se conservent peu de temps à température ambiante car ils durcissent à l’air libre et sous l’action du froid.

Les « Yukimi daifuku » sont une variante moderne et tristement célèbre pour sa piètre qualité industrielle. Ces Daifuku glacés sont généreusement imbibés de conservateurs et agents texturants pour garder leur moelleux malgré une congélation de longue durée. Egalement très difficiles à réaliser à la main, ils sont presque toujours façonnés par d’énormes machines. Chez Tomo nous les fabriquons à la main grâce au savoir faire de l’artisan glacier Lionel Chauvin de « Enzo et Lily ». Petit fils de l’immense Monsieur Berthillon. Le mot d’autre est donc 0 adjuvant, tant dans les glaces que dans la crème de haricot rouge ou la pâte de riz.   http://instagram.com/patisserietomo

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Poids 0.07 kg